*TRAITÉ DE ROME*

Il est important de se rappeler d'où nous venons. Après les tragédies de la Seconde Guerre mondiale, le Traité de Rome fut un accord clé entre six pays qui a lié leur destinée via la Communauté économique européenne. À l'occasion du 60ème anniversaire de sa signature, nous revenons sur la manière dont le traité a posé les bases de l'Europe et de sa réalisation, défendues par le Parlement européen.

🇪🇺EUROPE FOR CITIZENS! #HUB & #ThinkTank!

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🇪🇺POUR QUE L'EUROPE, EN TANT QU’ACTEUR MONDIAL, NE SOIT PAS LOINTAINE DES EUROPÉENS & DES FRANÇAIS!. BIENVENUE, WELCOME, BIENVENIDO, WILLKOMMEN, WELKOM, BENVENUTO, BOAS-VINDAS, WITAJ, VITAJTE... By @MorganeBravo.

2010*50Years of Traineeships at the European Commission*

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*Founded in 2006. From Paris, France. Fondatrice du "HUB EUROPEAN UNION", Morgane BRAVO* "United in diversity", that's the motto of the EU! *Mieux informer les citoyens UE! « So that Europe, as a global player, is not far from Europeans » * *Ancienne stagiaire (Blue Book) de la Commission Européenne, au Secrétariat Général. Bruxelles. * President & Founder HUB « DIGITAL DIPLOMACY» «DIPLOMATIE NUMERIQUE ». *‪Fondatrice HUB 
‪« DIGITAL DIPLOMACY» : « POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING ». *Fondatrice HUB « ECOLOGIE &INNOVATION : DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIE SIÈCLE!»* Présidente et Fondatrice du «Think Tank» Europe-Mexique.

*LES PRINCIPALES INSTITUTIONS DE L'UNION EUROPÉENNE*

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🇪🇺L'EUROPE. « L'Europe ne doit pas être un commentateur du monde. Elle doit en être l'architecte.🕊 La diplomatie européenne doit être une » 🕊 May the force be with you! Que la force soit avec vous!

mardi, février 02, 2010

*Sur Facebook : les marques servent à se créer une identité*

***En France, 33 % des membres du site y déclarent leur passion pour un produit ou une entreprise.

Déclarer sa flamme à une pâte à tartiner, revendiquer sa passion pour une chaîne de fast-food ou admettre avoir un faible pour sa banque est devenu chose courante sur Facebook. Un tiers des 15 millions de membres du réseau social dans l'Hexagone s'est déclaré «fan» d'une marque en adhérant à une page officielle dédiée à une entreprise ou un produit, révèle une étude de l'institut OTO Research, filiale du groupe de communication Fullsix.

82 % de ces utilisateurs soutiennent plus de deux marques sur le site. 64 % des sondés se disent prêts à encourager leur entourage à devenir clients de la marque qu'ils soutiennent et 69 % des sondés sont, en effet, devenus fans d'une marque après avoir vu que leurs amis l'étaient.

La mode en premier
«Devenir fan d'une marque est un symbole identitaire : je proclame que cette marque correspond à mes valeurs», explique Frédéric Colas, directeur stratégique du groupe Fullsix et président de l'agence SixandCo. Les marques de mode (42 %), suivies de l'alimentaire, arrivent ainsi en tête des produits les plus plébiscités, devant les médias (36 %) et les boissons (34 %). À 16 %, les marques d'équipement et de hi-fi sont au plus bas.

71 % des sondés ont adhéré à une page fan parce qu'ils aiment la marque. Plus de la moitié l'ont fait parce qu'ils sont clients, mais seuls 31 % en attendent des promotions et offres spéciales. Ce dernier taux pourrait grimper avec «la maturation de l'utilisation de Facebook» : aux États-Unis, l'accès à des promotions est le premier critère pour adhérer à une page fan.

Les membres du site communautaires continueront de soutenir certaines marques pour des questions statutaires. Ils adhéreront aux autres pour «avoir des informations». «C'est une nouvelle génération de marketing relationnel, analyse Frédéric Colas. Jusqu'à la fin des années 1990, les marques avaient recours au marketing direct sur papier : il fallait payer pour le recrutement de sa base de clients, pour les frais de structure de la base de données et pour le papier. L'e-mail a supprimé le poste de dépenses papier. Avec la fan page, le coût de gestion de la base de données baisse car elle est gérée par le réseau, il n'y a pas de coûts de messages et les coûts de recrutement sont en baisse en raison de la dimension virale du réseau.»

Marie-Catherine Beuth
02/02/2010
Le Figaro

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