*TRAITÉ DE ROME*

Il est important de se rappeler d'où nous venons. Après les tragédies de la Seconde Guerre mondiale, le Traité de Rome fut un accord clé entre six pays qui a lié leur destinée via la Communauté économique européenne. À l'occasion du 60ème anniversaire de sa signature, nous revenons sur la manière dont le traité a posé les bases de l'Europe et de sa réalisation, défendues par le Parlement européen.

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2010*50Years of Traineeships at the European Commission*

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*Founded in 2006. From Paris, France. Fondatrice du "HUB EUROPEAN UNION", Morgane BRAVO* "United in diversity", that's the motto of the EU! *Mieux informer les citoyens UE! « So that Europe, as a global player, is not far from Europeans » * *Ancienne stagiaire (Blue Book) de la Commission Européenne, au Secrétariat Général. Bruxelles. * President & Founder HUB « DIGITAL DIPLOMACY» «DIPLOMATIE NUMERIQUE ». *‪Fondatrice HUB 
‪« DIGITAL DIPLOMACY» : « POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING ». *Fondatrice HUB « ECOLOGIE &INNOVATION : DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIE SIÈCLE!»* Présidente et Fondatrice du «Think Tank» Europe-Mexique.

*LES PRINCIPALES INSTITUTIONS DE L'UNION EUROPÉENNE*

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lundi, juillet 02, 2007

***Sarkozy à Strasbourg pour expliquer aux Français le traité simplifié sur l'Europe***


*** Le président Nicolas Sarkozy devait tenir lundi soir à Strasbourg une "grande réunion publique sur l'Europe" afin d'expliquer le traité simplifié, au moment où sa position sur la Turquie et le déficit inquiète certains de ses partenaires de l'Union.

Le chef de l'Etat entend "expliquer aux Français le traité simplifié décidé à Bruxelles et les perspectives qu'il ouvre pour la relance du projet européen", selon le porte-parole de la présidence David Martinon.

M. Sarkozy a joué un rôle important au côté de la chancelière allemande Angela Merkel dans cet accord obtenu lors du Conseil européen des 21 et 22 juin, visant à remplacer la Constitution, que les Français et les Néerlandais ont rejetée en 2005 par référendum.

Dominique Strauss-Kahn, un des principaux responsables socialistes, a d'ailleurs salué lundi "le travail" de M. Sarkozy qui, selon lui, "a joué son rôle et plus que son rôle" pour arracher un accord.

"C'est le retour de la France en Europe", s'est-il félicité.

Bien décidée à conserver une place centrale dans la construction européenne, la France a d'ores et déjà assuré le Portugal, qui assure la présidence tournante de l'UE depuis dimanche, de son "soutien sans faille afin que ce texte puisse être signé avant la fin de l'année".

En revanche, sur d'autres sujets sensibles, notamment l'adhésion de la Turquie et le respect des promesses en matière de déficit public, les relations risquent d'être plus tendues.

Sur la Turquie, Lisbonne semble décidé à freiner Nicolas Sarkozy dans sa volonté de rouvrir immédiatement le débat sur l'avenir européen de ce pays qui, selon lui, n'a "pas sa place dans l'Union".

Dès jeudi, le secrétaire d'Etat portugais aux Affaires européennes, Manuel Lobo Antunes, avait dit que le Portugal ne voulait pas organiser au sommet européen de décembre un débat sur les futurs élargissements et les frontières de l'Union, comme le demande M. Sarkozy.

"C'est très difficile d'ouvrir un nouveau débat qui divise quand on en a déjà un qui n'est pas terminé", a déclaré en fin de semaine le ministre portugais des Affaires étrangères, Luis Amado.

Le Portugal, ainsi que le Royaume-Uni, la Suède ou encore l'Espagne, sont parmi les principaux avocats d'une adhésion turque à l'UE.

Autre sujet de tension entre Paris et la plupart de ces partenaires, le déficit public. Les 13 pays de la zone euro se sont engagés en avril à équilibrer leurs comptes publics d'ici à 2010, mais M. Sarkozy a repoussé unilatéralement cet objectif à 2012, fin de son mandat, au grand dam des partenaires européens.

Le président mise sur le "paquet fiscal", avec de nombreuses réductions d'impôts, qui doit être adopté dès la session extraordinaire du parlement en juillet pour relancer la croissance et ensuite revenir à l'équilibre.

"Si un pays ne veut pas respecter un engagement, cela soulève un problème qui n'est pas juridique mais politique", a mis en garde le ministre portugais des Finances Fernando Teixeria dos Santos, promettant que "c'est par la pression des pairs que nous le ferons respecter".

Pression qui devrait se faire sentir dès le 9 juillet lors d'une réunion des ministres des Finances de la zone euro à Bruxelles, à laquelle participera exceptionnellement M. Sarkozy, déterminé à tenter de convaincre personnellement ses partenaires que Paris sera "au rendez-vous de la réduction de l'endettement et des déficits".

STRASBOURG (AFP)
AFP