*TRAITÉ DE ROME*

Il est important de se rappeler d'où nous venons. Après les tragédies de la Seconde Guerre mondiale, le Traité de Rome fut un accord clé entre six pays qui a lié leur destinée via la Communauté économique européenne. À l'occasion du 60ème anniversaire de sa signature, nous revenons sur la manière dont le traité a posé les bases de l'Europe et de sa réalisation, défendues par le Parlement européen.

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🇪🇺POUR QUE L'EUROPE, EN TANT QU’ACTEUR MONDIAL, NE SOIT PAS LOINTAINE DES EUROPÉENS & DES FRANÇAIS!. BIENVENUE, WELCOME, BIENVENIDO, WILLKOMMEN, WELKOM, BENVENUTO, BOAS-VINDAS, WITAJ, VITAJTE... By @MorganeBravo.

2010*50Years of Traineeships at the European Commission*

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*Founded in 2006. From Paris, France. Fondatrice du "HUB EUROPEAN UNION", Morgane BRAVO* "United in diversity", that's the motto of the EU! *Mieux informer les citoyens UE! « So that Europe, as a global player, is not far from Europeans » * *Ancienne stagiaire (Blue Book) de la Commission Européenne, au Secrétariat Général. Bruxelles. * President & Founder HUB « DIGITAL DIPLOMACY» «DIPLOMATIE NUMERIQUE ». *‪Fondatrice HUB 
‪« DIGITAL DIPLOMACY» : « POLITIQUE & SOCIAL NETWORKING ». *Fondatrice HUB « ECOLOGIE &INNOVATION : DEVELOPPEMENT DURABLE DU XXIE SIÈCLE!»* Présidente et Fondatrice du «Think Tank» Europe-Mexique.

*LES PRINCIPALES INSTITUTIONS DE L'UNION EUROPÉENNE*

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lundi, avril 23, 2007

*L'euro fort n'inquiète pas les ministres des finances européens*


*** Les ministres des finances de la zone euro ont refusé, vendredi 20 avril à Berlin, d'emboîter le pas de Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy contre l'euro fort et la Banque centrale européenne (BCE), au moment où la monnaie unique approchait ses niveaux records face au billet vert (1,3637 dollar vendredi dans la matinée).

"Nous sommes à Berlin, pas en campagne électorale", a lancé Jean-Claude Juncker, le président de l'Eurogroupe, constatant que les discours entendus en France n'avaient même pas été commentés pendant la réunion.

Tandis que les deux principaux candidats à la présidentielle ont multiplié les critiques contre la façon dont sont pilotés les taux de change en Europe par une BCE dont ils mettent en cause le mandat, les grands argentiers se sont gardés de céder à la panique.

"Il n'y a pas lieu d'être excessivement préoccupé" par la progression de la monnaie unique, avait averti M. Juncker en prélude à la réunion. En dépit de l'absence de Thierry Breton, le ministre français des finances, remplacé par le directeur du Trésor, Xavier Musca, la question a fait l'objet d'un échange approfondi. C'est Jean-Claude Trichet, dont nombre de candidats français ont mis en cause l'omnipotence en matière de change au sein de l'Union, qui a été chargé par M. Juncker de résumer l'état d'esprit général. Le président de la BCE a répété les mises en garde déjà formulées lors des dernières rencontres du G7 : pour lui, une "volatilité excessive et des mouvements désordonnés" des taux de change sont "indésirables".

Afin d'inviter les marchés à acheter les devises asiatiques, M. Trichet a fait valoir que les dirigeants japonais eux-mêmes constataient que la reprise nippone était "durable", et que les taux de change "devaient refléter les fondamentaux économiques".

Enfin, il a souligné que l'Eurogroupe avait "noté avec intérêt que les autorités américaines ont dit qu'un dollar fort était dans l'intérêt de l'économie américaine".

CONJONCTURE BIEN ORIENTÉE

Au-delà des taux de change, les autorités européennes ont adressé un autre signal au futur président français. Avec Joaquin Almunia, commissaire chargé des questions économiques et monétaires, MM. Juncker et Trichet se sont réjouis de l'engagement des treize pays de la zone euro à poursuivre l'assainissement de leurs finances publiques, au moment où la conjoncture reste bien orientée.

Les trois hommes ont pointé tout particulièrement les pays qui, à l'instar de la France, de l'Allemagne et de l'Italie, ne sont pas encore en mesure d'équilibrer leurs comptes : "Il est attendu (qu'ils) accélèrent le rythme de réduction de leur endettement et de leur déficit afin d'atteindre au moins un ajustement structurel annuel de 0,5 % du produit intérieur brut" en 2008, est-il écrit dans une déclaration adoptée par les ministres présents.

Un engagement qui vise en premier lieu la France, même si elle n'est plus en situation de déficit excessif. Au début de l'année, la Commission avait enjoint en vain à Paris de faire un effort de rigueur budgétaire supplémentaire en dépit des échéances électorales.

BERLIN ENVOYÉ SPÉCIAL
Philippe Ricard
Article paru dans l'édition du 22.04.07.
Le Monde

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